Les Jeux olympiques et paralympiques de Paris en 2024 constituent une occasion unique de mettre le sport et ses bienfaits au cœur de la société. C’est aussi une nécessité pour répondre à une urgence : la lutte contre la progression de la sédentarité et ses conséquences. Dans le cadre de la promotion de l’Activité Physique et Sportive choisie comme Grande Cause Nationale 2024 - Make.org lance, avec le soutien du Ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, des entreprises, des acteurs du sport et de la société civile, une initiative baptisée “Cause #PratiqueduSport” pour renforcer la place du sport dans notre société et favoriser la pratique sportive des Français en 2024 et au-delà des jeux. Cette cause commence par une grande consultation citoyenne autour de la question “Comment favoriser la pratique sportive de tous les Français en 2024 et après ?”. Les priorités exprimées par les citoyens lors de cette consultation permettront de construire un plan d’actions concrètes pour remettre la pratique sportive au centre du quotidien de chaque Français.
remplacer 1h de temps assis par 1h d’activité physique et sportive réduit de 50% la mortalité.1
affirment n’avoir pratiqué aucune activité sportive en France en 2023.2
dans le monde sont en dessous des seuils d’activité physique recommandés par l’OMS, et 40% des étudiants français indiquent ne pratiquer aucune activité sportive.3
Pour remettre la pratique sportive au centre du quotidien de chaque Français et ainsi lutter contre la sédentarité, seules une prise de conscience et une mobilisation générale peuvent permettre de faire bouger les choses en profondeur, avec des actions collectives et globales sur le long terme, et avec la création d’espaces favorisant la pratique sportive et l’évolution des mentalités.
Sources : 1 Dossier de Presse de la Grande Cause Nationale 2024, Ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques; 2 Comité Paralympique et Sportif Français (CPSF), “Le guide des parasports”; 3 Santé Publique France, “Activité physique chez les étudiants : prévalence et profils de comportements à risque associés”