Malgré un accueil globalement favorable, les Réseaux de Chaleur Urbains (RCU) suscitent quelques inquiétudes. Les participants débattent de leurs économies réelles, de leur inefficacité énergétique, et considèrent parfois les coûts de travaux et de maintenance comme élevés. L'idée de compteurs uniquement collectifs fait moins consensus, perçue comme peu juste et contraignante. Certains expriment une méfiance plus générale et voient les RCU comme un moyen de contrôler la consommation des citoyens par les entreprises énergétiques.

Les participants soutiennent les Énergies Renouvelables (ENR), mais craignent une augmentation de la consommation énergétique. Ils exigent des données précises et des études d'impact pour chaque projet de Réseau de Chaleur Urbain (RCU). L'opposition à la biomasse est marquée, notamment en raison des craintes sur de potentielles conséquences environnementales. La géothermie est bien accueillie malgré quelques doutes tandis qu'une opposition relative au gaz est exprimée, avec une priorité accordée à la rénovation énergétique des bâtiments. D'autres sources d'énergie, telles que l'énergie fatale et les panneaux solaires, sont débattues. 

Face à la complexité du sujet, les citoyens réclament des informations claires sur les Réseaux de Chaleur Urbains (RCU) et des moyens de communication variés. Le rôle du syndic est jugé crucial, à la condition d'une transmission claire d'informations. Les collectivités territoriales sont tout aussi considérées comme des acteurs clés pour sensibiliser les habitants. Enfin, l'État est également interpellé afin de mettre en œuvre des subventions et une législation contraignante.