Les engagements et les orientations de l'Amicale ont été construits à partir du refus de considérer la prostitution comme une activité comme une autre, puis dans le cadre de la convention de Genève de 1949 ratifiée par la France en 1960 ce qui va, alors, positionner la France parmi les pays abolitionnistes. Depuis 2011, l'association lutte pour l'abolition du système prostitutionnel et l'exigence de sa prise en compte comme problème social et comme violence faite aux femmes.